Your browser doesn't support javascript.
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 4 de 4
Filter
Add filters

Document Type
Year range
2.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1708939
3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):130, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586659

ABSTRACT

Introduction Fin décembre 2019, un nouveau coronavirus responsable de nombreuses infections des voies respiratoires inférieures est apparu à Wuhan, en Chine. Ce virus, nommé SARS-CoV-2, s’est depuis propagé dans le monde entier, étant responsable d’une pandémie mondiale. Les rapports initiaux concernant la symptomatologie liée à ce virus mettaient à l’avant plan les plaintes respiratoires. L’objectif de notre travail était de décrire la fréquence et les caractéristiques des manifestations respiratoires chez les professionnels de la santé (PS) atteints de la COVID-19. Méthodes Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive des PS de l’hôpital Charles Nicolle consultants le service de médecine du travail et de pathologie professionnelle durant la période allant du premier septembre au 31 décembre 2020 pour des symptômes évocateurs d’infection à COVID-19. Les patients considérés comme COVID-19 positifs sont ceux ayant eu une RT-PCR COVID-19 positive sur un prélèvement nasopharyngé. Résultats Notre population constituée de 494 PS était à majorité féminine (78 %). L’âge moyen était de 41 ans [21–61]. Des comorbidités chroniques associées étaient retrouvées chez 266 patients (53,8 %). L’hypertension artérielle, l’asthme et le diabète étaient les comorbidités les plus retrouvées. La catégorie d’infirmier représentait 32 % des cas. Ils travaillaient dans les services de chirurgie dans 36 % des cas. Nos patients avaient une ancienneté professionnelle moyenne de 14,9 ans [1–27]. Les plaintes respiratoires liées à l’infection SARS-CoV-2 étaient la toux (67,9 %), la dyspnée (44,4 %) et les douleurs thoraciques (35,6 %). Des signes généraux ont été également rapportées tel que l’asthénie (80,2 %), la fièvre (38,6 %) et l’anorexie (2,6 %). Un traitement symptomatique a été prescrit à tous nos patients à la première consultation. Un suivi téléphonique a été fait pour tous les patients positifs durant la période de confinement allant de 10 à 14 jours. Au total, sept (1,4 %) patients ont présenté une forme sévère de COVID-19 et ont été hospitalisés, dont 3 (0,6 %) sont décédés. Conclusion Les manifestations respiratoires sont fréquentes en cas d’infection au SARS-CoV-2. Elles peuvent être le symptôme initial de la maladie ou rester isolée chez certains patients paucisymptomatiques.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):132, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586655

ABSTRACT

Introduction La médecine du travail est essentiellement une médecine préventive permettant de préserver la santé des travailleurs notamment en milieu de soins et particulièrement en cette période de pandémie COVID-19. Dans ce cadre, une campagne de vaccination a été organisée au sein des services de médecine du travail des hôpitaux, destinée pour le personnel de soins des secteurs public et privé non encore vacciné. Notre étude avait pour objectif de déterminer l’apport de la médecine du travail hospitalière dans cette mesure préventive. Méthodes Étude descriptive transversale ayant intéressé le personnel de soins non vacciné de deux centres hospitalo-universitaires publics (hôpital Charles Nicolle et hôpital Habib Thameur) et trois cliniques privées qui s’est présenté au service de médecine du travail de l’hôpital Charles Nicolle au cours de la campagne. Résultats Au total, nous avons colligé 824 personnels non vaccinés. Notre population ayant reçu le vaccin anti-COVID 19 était composée de 454 personnels (55,1 %). Le personnel avait un âge moyen de 39,66±10,03 ans et était à prédominance féminine (72,7 %) avec un sex-ratio H/F de 0,36. Ils travaillaient dans 72,2 % dans le secteur public et occupaient des services à caractère médical dans 34,9 % des cas. La catégorie professionnelle prédominante était celle des ouvriers (27,4 %) suivie de celle des infirmiers (20,1 %). Conclusion Notre étude a mis en évidence un taux de participation à la vaccination supérieur à la moitié du personnel au sein du service de médecine du travail. Ce taux pourrait refléter le rôle important que joue cette discipline dans l’information et la sensibilisation du personnel à la vaccination anti-COVID 19. Par ailleurs, un renforcement de ces actions est nécessaire afin d’aboutir à une participation quasi-totale du personnel non vacciné.

SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL